Un jour l’âne de Djoha fut volé. Djoha en parla à ses amis desquels il espérait recevoir un peu de réconfort dans cette situation difficile, mais au contraire, ses derniers le blâmèrent :– Tu aurais du fermer la porte de l’écurie pour éviter cela Djoha
– Comment se fait-il que tu n’ai rien entendu, ne serait-ce qu’un petit craquement ?
– Tu as sans doute mal attaché ton âne.
Djoha les écouta pendant des heures et leur dit avec agacement :
– Assez, assez, vous semblez tous m’accuser en rejetant sur moi la responsabilité de ce vol. Soyez honnêtes ! Le voleur serait-il innocent ?